Environnement et Santé (105)
De plus en plus les questions sanitaires et environnementales intéressent les populations. Nous palerons dans cette rubrique de l’érosion côtière, de la pollution de l’environnement
COVID-19-TRAITEMENT PAR LA CHLOROQUINE AU SÉNÉGAL :La pharmacie nationale évalue les risques
La pharmacie nationale s’est penchée hier, mardi 7 avril, sur l’utilisation de la chloroquine dans le traitement du coronavirus au Sénégal en présence du directeur général de la santé, docteur Marie Khémess Ngom Ndiaye. Selon le directeur de la pharmacie nationale, le professeur Yérim Mbagnick Diop, il ne s’agit pas de remettre en cause cette option mais de l’accompagner avec des évidences scientifiques. |
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L e Sénégal utilise la chloroquine dans le traitement des malades souffrant de coronavirus. Selon la Direction nationale de la pharmacie, le professeur Moussa Seydi en charge du traitement de ces patients a reçu de leur part une autorisation temporaire pour son utilisation. «Il s’agit à travers cette rencontre qui réunit pharmaciens, biologistes de se pencher sur l’utilisation de la chloroquine dans le traitement de Covid-19. Le comité doit donner un avis sur la question. Un avis qui sera partagé et adopté dans le protocole de soins » a déclaré le professeur Yérim Mbagnick Diop. Et de poursuivre: «il ne s’agit pas de remettre en cause ce traitement mais de l’accompagner avec des évidences scientifiques». |
Source : sudonline
SANTE : Dr Marie Sarr Diouf, Coordinatrice du Programme National de lutte contre la Tuberculose : «il faut mobiliser beaucoup plus de ressources pour renforcer la communication ».
Le PNT en est aujourd’hui à sa troisième stratégie pour éradiquer la tuberculose du Sénégal. Un grand défi que s’est lancé le programme selon la Coordinatrice, Dr Marie Sarr Diouf qui a retracé les difficultés qui ralentissent la réussite de ce plan de stratégie. Elle se prononçait en marge d’un atelier de formation et de partage sur cette maladie. Cet atelier s’est tenu les 04 et 05 novembre 2016 à Thiès et regroupait une vingtaine de journalistes venus de divers horizons ainsi que les téléopérateurs du ministère de la santé.
Lancé cette année pour l’horizon 2035, la stratégie « End TB » du programme national de lutte contre la tuberculose vise essentiellement à centrer les soins et la prévention sur le patient, à mener une politique audacieuse ainsi qu’un système de soutien et à intensifier la recherche et les innovations dans le domaine. Cette stratégie veut « mettre un terme à l’épidémie de tuberculose » selon le Dr Marie Sarr Diouf, Coordinatrice du PNT.
Toutefois, pour que cet objectif soit atteint la Coordinatrice estime qu’il faudrait renforcer l’implication de chacun et mobiliser plus de ressources. Pour le Dr Maire Sarr Diouf, « il y a certes de bonnes intentions sur le terrain, mais nous devons mobiliser beaucoup plus de ressources pour compenser les activités majeures du programme ».
Dans la même lancée, elle fait savoir que la communication devra être bien améliorée pour permettre de renforcer les ressources. « Il faudra qu’on arrive à avoir davantage de ressources pour mener une communication à outrance, une communication qui puisse atteindre toutes les populations », confie-t-elle.
Avant de continuer : « Tout le monde sait que la communication coûte cher. C’est un domaine très onéreux. Et pour y arriver correctement, il faudra mobiliser beaucoup de ressources pour renforcer la communication », Dr Marie Sarr Diouf.
Dans la foulée, la coordinatrice du PNT rappelle que le défi qui est lancée est d’arriver à réduire à zéro le taux des décès causés par la tuberculose. Ce taux est estimé aujourd’hui à 3%, sur les malades identifiés grâce à la stratégie « End TB ». Cependant, martèle le Dr Marie, « cette stratégie mérite des préalables ».
Selon elle, au niveau du pays, « Nous allons vers un plan stratégique où on va changer un peu de paradigme en intégrant l’approche multisectorielle pour faire participer tout le monde dans la réponse » fait-elle savoir.
Elle estime que même si les interventions communautaires sont actives depuis 2012 et qu’il ya une ouverture vers la communauté, « les autres secteurs de développement, que ça soit la jeunesse, la famille, le ministère du transport, du sport, etc.. doivent participer dans la lutte pour que la cible-tuberculose puisse être mieux maîtrisée », ajoute-t-elle.
IDY NIANG
[VIDEO] LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE LUTTE CONTRELA ROUGEOLE ET LA RUBEOLE
La campagne de lutte contre la rougeole et la rubéole a été lancée ce dimanche à Thiadiaye par Abdoulaye Diouf Sarr, Ministre de la Santé et de l’Action Sociale. L’occasion a été saisie par le Ministre pour faire l’état de cette maladie associée au rubéole dans le pays. Il a ainsi informé que depuis 2004, aucun cas de décès causé par cette maladie n’a été enregistré dans le pays.
SANTE - LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE LUTTE CONTRE LA ROUGEOLE ET LA RUBEOLE : « Depuis 2004, aucun cas de décès pour rougeole n’est noté », le Ministre.
La campagne de lutte contre la rougeole et la rubéole a été lancée ce dimanche à Thiadiaye par Abdoulaye Diouf Sarr, Ministre de la Santé et de l’Action Sociale. L’occasion a été saisi par le Ministre pour faire l’état de cette maladie associée au rubéole dans le pays. Il a ainsi informé que depuis 2004, aucun cas de décès causé par cette maladie n’a été enregistré dans le pays.
Jadis faisant partie des dix premières causes de mortalité infantile dans le monde, aujourd’hui, grâce aux efforts combinés des campagnes et de la vaccination de routine menés dans notre pays, la rougeole semble entrer dans une ère d’élimination depuis quelques années. Selon Abdoulaye Diouf Sarr, cette maladie ne cause plus de décès dans notre pays depuis l’année 2004. Dans le même sens, le Ministre de la Santé a indiqué : « Notons également que la dernière épidémie d’envergure au Sénégal remonte à 2010 ». Le Ministre a aussi montré que ces résultats ont été possibles grâce aux performances du PEV de routine qui ont aujourd’hui atteint la barre de 90% de couverture chez les enfants âgés de 9 mois pendant qu’une deuxième dose de vaccin contre la rougeole leur est encore administrée au 15ième mois.
Dans cette lancée, il informe que « la ligne budgétaire destinée chaque année à l’achat des vaccins et consommables du Programme de vaccination est passée de 977 millions à 3 milliards 177 millions de francs CFA dans la même période ». À l’en croire, cette campagne d’envergure combinée rougeole-rubéole, devra permettre de mieux consolider les acquis dans la croisade contre ces deux maladies. « Dans cette dynamique, notre pays a élaboré un plan stratégique 2012-2020 contre cette maladie » a fait savoir Abdoulaye Diouf Sarr. Avant de continuer : « Ce plan stratégique d’élimination de la rougeole vise une incidence de moins de 5 cas par an pour un million d’habitants et une réduction de la mortalité de 98 % au moins », martèle le Ministre de la Santé et de l’Action Sociale.
Cette campagne qui va durer 7 jours, « devra permettre à tous nos enfants âgés entre 9 mois et 5 ans et qui sont estimés à 2.074.683 enfants, d’être vaccinés contre ces deux maladies tant redoutées à cause de leurs morbidités, mortalités, séquelles ou handicaps », précise-t-il. Enfin, Abdoulaye Diouf Sarr a noté que l’objectif de cette campagne est de toucher au moins 95% de la cible afin d’assurer aux enfants Sénégalais, la chance de naître, de vivre et de se développer à l’abri des maladies évitables par la vaccination. Elle sera réalisé par 2750 vaccinateurs, 3000 volontaires, 2400 mobilisateurs, 700 superviseurs et 500 chauffeurs sur toute l’étendue du térritoire.
SOURCE : VOX POPULI
JOURNEE MONDIALE DE L’OZONE Une technicienne du froid parle des gaz qui causent la destruction de la couche d’ozone.
Depuis quelques décennies, on parle de la destruction de la couche d’ozone. Ce phénomène est à l’origine de plusieurs conséquences tant sur le plan médical qu’environnemental. Sokhna Fall Diawara, Expert en froid et membre du Programme National Ozone nous édifie sur les gaz qui causent cette dégradation de la couche précieuse qui devrait nous protéger des rayons ultraviolets rejetés par le soleil.
« Nous pouvons dire que c’est nous les techniciens frigoristes qui utilisons des substances qui peuvent détruire la couche d’ozone. Ce sont les gaz contenus dans les frigos, réfrigérateurs, climatiseurs, chambres froides, machines à glacer et tout ce qui est appareil frigorifique » informe d’emblée la technicienne en froid et climatisation. Elle précise par contre que ce ne sont pas tous les gaz qui détruisent la couche d’ozone mais certains seulement. « Il y a les CFC (chlorofluorocarbures) comme le R12, il y en a presque plus au Sénégal. La lutte a commencé depuis longtemps et jusqu’en 2010 personne le droit d’importer du CFC, donc au niveau des réfrigérateurs on peut dire qu’il n’y plus de gaz qui détruisent la couche d’ozone notamment le R134 A et le R600 A » fait savoir Mme Daiwara. Elle précise par ailleurs que le R134 A est un gaz à effet de serre qui entre dans un autre cadre de lutte notamment contre le réchauffement climatique.
Elle ajoute : « Au niveau de certains climatiseurs nous avons un réfrigérant qui s’appelle le R22 qui détruit la couche d’ozone. La majorité des climatiseurs aujourd’hui au Sénégal contiennent des substances qui détruisent la couche d’ozone » martèle Sokhna Fall. Avant de continuer : « On est en train de règlementer l’importation de ces substances. Et il y a des substances qui remplacent le R22 dans les climatiseurs et dans les chambres froides et qui sont alternatives des CFC qui détruisent la couche d’ozone ».
Dans la foulée, Sokhna Fall Diawara indique que bien que le R22 détruit la couche d’ozone, ce gaz n’est pas totalement interdit au Sénégal. « Si on se lève un beau jour pour interdire le R22, les techniciens vont avoir des problèmes, la population va avoir des problèmes, on ne pourrait plus dépanner les climatiseurs », montre-t-elle. Selon elle, il y a déjà un système de quotas qui est en vigueur, n’importe qui ne peut importer ces gaz puisque qu’il y a des quantités qui sont allouées chaque année. « On a déjà recensé les importateurs de fils frigorigènes et chaque année ils font des déclarations sur l’importation de l’année précédente pour qu’on leur alloue un autre quota » a-t-elle expliqué.
D’ailleurs, elle annonce que l’importation de ces gaz devra arrêter à partir de 2030. « Le programme d’élimination de cette substance est jusqu’en 2030. Maintenant, l’élimination se fait de façon progressive. Il y a les alternatives qui viennent et en même temps on diminue le R22 de telle sorte que la population ne le sente pas », rassure la consultante du Programme Ozone.
Pour ce qui est des alternatives, elle explique que dans les climatiseurs on pourrait utiliser le R407 C ou le R410 A qui sont les plus répandus. « Il y a aussi le Propane le R290 qui est en phase test actuellement. On est en train de former les frigoristes puisque c’est un gaz inflammable ». Pour elle, c’est un excellent réfrigérant qui a de très bonne qualités thermodynamiques qui ne détruit pas la couche d’ozone, qui n’affecte pas le climat maos qui a un caractère inflammable et les techniciens en froid ont besoin de beaucoup de formation, de respecter les bonnes pratiques en froid pour pouvoir manipuler ce gaz. « Ce fil frigorigène n’est pas encore vendu ni autorisé au Sénégal, c’est juste en phase test », conclut-elle.
IDY NIANG
JOURNEE MONDIALE DE L’OZONE : Le Programme National Ozone Sénégal mise sur la sensibilisation des enfants.
En prélude aux activités de célébration de la journée mondiale de la couche d’ozone fêtée chaque 16 septembre à l’échelle planétaire, le Programme National Ozone Sénégal a sillonné les artères de la commune de Joal-Fadiouth la veille pour une caravane de sensibilisation orientée vers les jeunes pour mieux assurer la pérennité du message dont le thème de cette année est : « Protéger toute vie sous le soleil».
La commune de Joal-Fadiouth a été choisie pour abriter les activités annuelles de la journée mondiale de la couche d’ozone. Parmi ces activités, une grande caravane de sensibilisation sur les enjeux de cette lutte contre la destruction de la couche d’ozone, sur les conséquences de la dégradation de la couche d’ozone, et sur les comportements à adopter dans cette situation. Pour Reine Marie Coly Badiane, cette couche de la population a besoin d’être informée sur ce qu’est la couche d’ozone. « Le soleil n’épargne personne, les enfants sont là, ils doivent grandir, donc ils faut qu’ils grandissent dans de bonnes conditions. Et je pense que c’est important que l’information soit partagée, que ces enfants soient conscients de cette situation et qu’ils prennent des dispositions pour se protéger contre les effets néfastes de la dégradation de la couche d’ozone », indique la coordinatrice du Programme Ozone Sénégal.
« La communauté internationale, les scientifiques, tous sont convaincus qu’avec cette dégradation de la couche d’ozone, il y a une prolifération de maladies comme les cancers de la peau, la cataracte ; et il est avéré que cette exposition intensive aux rayons ultraviolets sont à l’origine de ces maladies », a-t-elle informé. Dans cette lancée, Cheikh Fofana, « les questions d’environnement sont par essence prévention, et qui dit prévention dit sensibilisation, information pour des changements de comportements, d’attitudes » estime-t-il. Pour le Directeur Adjoint de l’environnement et des établissements classés, la mobilisation aidant, cette manifestation va permettre d’amener toutes les catégories d’acteurs autour de l’essentiel pour contribuer à la préservation de l’environnement et de la couche d’ozone en particulier. « Je crois que la séance qui nous réunit aujourd’hui avec les enfants, qui sont les décideurs de demain revêt pour nous une importance toute particulière et c’est cette catégorie d’acteur qu’on a mis au cœur de la célébration de la journée mondiale de l’ozone de cette année pour amener les enfants à prendre conscience de l’importance de l’environnement et de la couche d’ozone », explique M. Fofana.
IDY NIANG
DEVELOPPEMENT – GESTION DES EAUX PLUVIALES : L’ADM mise sur la formation des acteurs pour atteindre les objectifs du PROGEP.
La gestion des eaux pluviales a depuis quelques décennies constituée une véritable problématique de développement pour le Sénégal. Malgré tous les efforts consentis par les différents gouvernements qui se sont succédé ces dernières années, le problème reste entier. Avec le Programme de Gestion des Eaux Pluviales et d’Adaptation au Changement Climatique (PROGEP), l’Agence de Développement Municipal s’est fixé l’objectif de résoudre ce problème. Pour y arriver, il compte former tous les acteurs concernés pour arriver à bout. La session de formation portant «Gouvernance Urbaine Intégrée» cette session est prévue à Saly Portudal à partir du 04 juillet.
L’ADM va regrouper l’assemble des acteurs concernés par la problématique des inondations pour un module de formation. Cette rencontre, la troisième du genre, est mue par la nécessité de développer un programme de renforcement des capacités en direction de tous les acteurs clefs dans leur grande diversité. Les acteurs et cibles concernés tournent entre le Comité Technique Opératoire du PROGEP, les Agents des Directions nationales et autres Institutions publiques, les Elus locaux et les Populations à la base à travers les COLIGEP. Pour les organisateurs, cette session est la suite d’un plan de formation structuré sur cinq modules qui vise à renforcer les capacités des participants.
Après les deux premiers modules déjà effectués, ce troisième a pour objectifs : d’abord, une meilleure capitalisation de la culture du risque d’inondation, de la résilience et de l’adaptation au changement climatique, ensuite une bonne intégration des risques liés aux inondations en matière de gouvernance urbaine intégrée. Cela permettra ainsi, de « parvenir à un bon niveau de compétences en matière d’intégration des risques d‘inondations dans la planification et la gestion urbaines locales afin d’assurer la préparation et la réponse aux inondations à court et à long terme, mais également une diminution de la vulnérabilité et une augmentation de la résilience au changement climatique en milieu urbain », expliquent-ils.
Selon les responsables de la structure, cette formation devra aboutir à permettre le croisement entre les attentes, aptitudes et niveaux d’intervention de chaque groupe d’acteurs présents à cette session, dans la mise en œuvre de ces outils de planification ou/et de gestion. Dans la même lancée, elle permettra d’inviter les acteurs chacun selon les outils dont dispose actuellement sa commune, à mettre en place un cadre de suivi participatif avec des rôles et responsabilités bien définis, afin de matérialiser cette gouvernance urbaine intégrée. Enfin, ce sera l’occasion de faire appel au vécu et à l’expérience des participants en plus d’une contribution significative d’experts du domaine en tant que discutant.
IDY NIANG
MBOUR : Le Mouvement AMDEM offre des consultations et des kits pour accouchement à plus d’une centaine de femmes enceintes.
Le siège du mouvement Agir Avec Macky pour le Développement de Mbour a été ce week-end, le point de convergence de plus d’une centaine de femmes enceintes dans la commune de Mbour. En effet, 104 femmes en état de grossesse ont pu bénéficier de consultations gratuites et ont été dotées de kits pour accouchement grâce au mouvement AMDEM. Pour Cheikh Issa Sall, le Président du Mouvement, ce geste a été initié pour permettre à ces femmes de pouvoir bénéficier des services de santé primaires mais aussi de disposer d’équipements pour leur faciliter l’accouchement à leur terme.
Ceci entre dans le cadre du programme de son mouvement sur le plan de la santé, précise-t-il. « Dans le cadre du mouvement AMDEM, nous avons un important programme en matière de santé qui déroulé par la commission dédiée à ce domaine et qui est dirigée par le Dr Diop. C’est dans ce cadre que nous sommes entrés en partenariat avec « Partners for world health » et « Syntech Corp » pour faire bénéficier les populations mbouroises de leurs services » Cheikh Issa Sall.
Selon lui, le mouvement AMDEM, travaille depuis quelques temps sur deux concepts que sont ‘’Un week-end, un quartier’’ et les ‘’Week-end de citoyenneté’’. Dans cette lancée, il fait savoir : « Nous avons eu un premier week-end de citoyenneté consacré à la sécurité routière, le deuxième a été consacré à la sécurité maritime. Le troisième week-end de citoyenneté sera consacré à la sensibilisation sur les maladies hivernales » informe Cheikh Issa Sall.
Il annonce que le mouvement ne se limitera pas seulement à la sensibilisation mais compte organiser même des activités d’investissements humains destinées à assainir l’environnement interne et celui des abords de l’hôpital de Mbour, puisque « nous savons que pendant l’hivernage il y a beaucoup de moustiques qui se développement et qui sont les causes fondamentales de certaines de ses maladies hivernales comme le paludisme », Cheikh Issa Sall.
IDY NIANG
SANTE : Le SAMES dénonce le déficit général en médecins spécialisés dans tous les domaines.
Réunis à Saly pendant 48h pour réfléchir sur la gestion des ressources humaines dans le secteur de la santé, les membres du bureau exécutif du SAMES (Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal) ont évoqué la problématique de la formation des médecins dans les différents domaines. En effet, ils ont dénoncé l’insuffisance et la mauvaise répartition des médecins spécialistes dans toute l’étendue du territoire national et pour les quatorze millions d’âmes qui y vivent. «Pour l’ensemble du Sénégal, sur un effectif total de 800 médecins spécialistes en exercice, 68,5% d’entre eux sont à Dakar », fait savoir le Docteur Boly Diop.
Dans cette lancée, il montre que d’une manière globale, en dehors de Dakar, aucune région du Sénégal ne remplit ni les normes du programme national de développement sanitaire, ni celles de l’OMS. « Des situations bizarres sont notées au Sénégal notamment dans les régions de Kédougou, Tambacounda ou la Région de Sédhiou qui compte seulement 03 médecins spécialistes pour 500.000 habitants », constate le Secrétaire Général du SAMES. D’ailleurs, renforce-t-il, « la plupart des spécialistes disponibles sont recrutés localement par les Directeurs d’hôpitaux ».
Boly Diop précise dans la foulée que « pour certaines spécialités comme la neurochirurgie, la psychiatrie, la chirurgie pédiatrique, la chirurgie cardiaque en dehors de Dakar, c’est le désert médical ». Et malgré cette situation où un médecin spécialiste est devenu une denrée rare dans le pays, le Secrétaire Général du SAMES ne voit pas de lueur au bout du tunnel. « Nous sommes au regret de constater qu’un faible nombre de médecins sénégalais sont en formation dans les universités sénégalaises », martèle Boly Diop. Il poursuit en précisant que sur les 1785 médecins inscrits en spécialisation en 2017, 1137 sont des étrangers.
Enfin, pour les membres du bureau exécutifs du SAMES, l’état doit, au regard de ces écueils, « montrer sa volonté d’assurer l’équité en matière de santé à tous les sénégalais en augmentant les ressources allouées au secteur pour atteindre la véritable couverture sanitaire universelle », Boly Diop.
IDY NIANG
ENVIRONNEMENT : L’érosion côtière et le sapement des berges des fleuves, une menace à l’intégrité territoriale (Ministre).
L’édition 2017 de la revue des projets et programmes du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable a démarré ce matin à Saly. Une occasion pour le Ministre Abdoulaye Bibi Baldé de se féliciter des résultats réalisés par ses services, mais aussi de rappeler les défis qui continuent à les interpeler. En effet, le Ministre a demandé à ses services, chacun en ce qui le concerne, de prendre les dispositions utiles, au plan technique et budgétaire pour élargir, approfondir et même ouvrir de nouveaux chantiers.
Pour lui, ces chantiers devront être une occasion pour accorder une attention particulière à des phénomènes adverses spécifiques. « L’une des menaces que nous devrons juguler, c’est l’érosion côtière et le sapement continu des berges de nos fleuves », martèle Abdoulaye Baldé. Dans la même lancée, il a montré que ces phénomènes associés au trafic illégal de bois et la grande prévalence des feux de brousse, « attaquent dangereusement nos milieux et nos modes de vie et constituent, un risque pour la préservation de la biodiversité, la stabilité sociale, le développement économique et même, à certains endroits, l’intégrité territoriale ».
Dans la foulée, le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable a réaffirmé la ferme volonté des pouvoirs publics à œuvrer, en complicité avec les acteurs « sur la base du principe de subsidiarité, à mettre en œuvre et à développer les stratégies appropriées pour faire face à ces défis ». Il a aussi invité l’ensemble de ses services à mettre plus d’entrain dans la conduite des processus en cours et dont les plus saillants sont, pour M. Baldé, « l’élaboration d’un programme décennal, la mise en place d’un observatoire du littoral, et le renforcement de l’appui financier aux collectivités locales dans leurs activités de planification et de gestion environnemental ».
Par ailleurs, le Ministre a rappelé que la finalité de ces travaux, dont les résultats seront pris en compte dans la définition et la conduite de sa politique, est « qu’à l’horizon 2025, la gestion de l’environnement et la gouvernance verte, soient le socle d’un Sénégal émergent, pour un développement socio-économique inclusif et durable », Abdoulaye Bibi Baldé. Il précise, que le bilan financier et technique de l’exercice 2016 est encourageant en ce sens. En effet, note-t-il, « le département a enregistré un taux d’exécution budgétaire correspondant à 82% et un taux de réalisation des prévisions sur le plan technique de 83% ».
IDY NIANG
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PROMISCUITE, MANQUE DE PERSONNEL, INSUFFISANCE DES LITS, MANQUE DE MATERIELS (…) : Le chapelet de problèmes du service d’urge

Il y a quelques mois par le passé que l'hôpital de Grand Mbour a été baptisé... Lire la suite
SECURITE – TRANSPORT – MOBILITE URBAINE : le Maire de Mbour veut couper le mal à la racine.

Le transport, la mobilité urbaine et la sécurité font partie des points névralgiques de la commune... Lire la suite
MIGRATION IRREGULIERE : Mbour et Kédougou les deux plaques tournantes du trafic de migrants.

La lutte contre le trafic de migrants est une problématique complexe pour les autorités policières et... Lire la suite
MEDIA ET SCIENCES : le réseau Théophraste note l’urgence d’avoir des journalistes scientifiques.

Le réseau Théophraste a ouvert son colloque international hier à Saly Portudal. L’occasion a été saisie... Lire la suite
POLE URBAIN DAGA-KHOLPA : Abdoulaye Sow engage la discussion avec les populations impactées.

Le pôle urbain Daga-Kholpa a fait l’objet de plusieurs manifestations des jeunes des villages impactés. Depuis... Lire la suite
DGID : pour mieux assister la hiérarchie dans sa mission, les agents de la DGID veulent plus d’implication dans les décisions

L’Amicale des Agents d’Assiettes des Impôts et Domaines veut jouer pleinement son rôle dans la mission... Lire la suite
SECURITE – TRESORS : les travailleurs du trésor réclament plus de sécurité dans l’exercice de leur fonction.

Ces dernier temps, beaucoup de cas d’agression ou de meurtre sont notés à travers le pays.... Lire la suite
DIASS – INAUGURATION D’UNE CENTRALE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE : la SENELEC élargit son réseau avec 33.000 ménages de plus.

Le Président Macky Sall a procédé hier à l’inauguration de la centrale solaire de Malicounda. Un... Lire la suite
ECONOMIE – ARTISANAT : l’APDA fait son bilan d’étape et se projette sur les 5 prochaines années.

L’APDA (Agence pour la Promotion et le Développement dde l’Artisanat) a été créée par le décret... Lire la suite
HAUSSE DE LA PRODUCTIVITE AGRICOLE : un tracteur hydraulique mis au point par DAUST.

L’agriculture sénégalaise reste toujours à faire des efforts pour devenir compétitive. Pour y arriver, un certain... Lire la suite
CULTURE - PEOPLE
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Coronavirus - Les conséquences du confinement. À Mbour, Le secteur informel se résigne et prêche en faveur des recommandations.

La propagation du Covid 19 dans le Sénégal continue son petit bonhomme de chemin. Cette situation... Lire la suite
CULTURE – DISTRIBUTION DES RECETTES DE LA SODAV : « Depuis 2004, je n’ai reçu que 8000f » ; le cri de cœur de Mame J Ras Soul

La SODAV (Société Sénégalaise des Droits d’Auteur et Droits Voisins) a été mise en place depuis... Lire la suite
SOCIETE : Macky Sall offre 5 millions aux Kankourangs de Mbour.

C’est une enveloppe de 5 millions que le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du... Lire la suite
ARRET SUR IMAGES
DEVELOPPEMENT LOCAL
Parole aux Mbourois

Contribution : Lettre ouverte au Ministre de l'int
Lettre ouverte au Ministre de l'intérieur / Kankourang de Mbour: Allaamouta ! Cher monsieur le ministre, Pour l'harmonie des...
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CONTRIBUTION – AFFAIRE OUSMANE SONKO/ADJI SARR : L
Durant toute mon éducation familiale et tout mon cursus scolaire, notamment en littérature, on m’a...
Lire la suiteINTERNATIONAL

Le coronavirus pourrait ne jamais disparaître, sel
"Nous avons un nouveau virus qui pénètre la population humaine pour la première fois et il...
Lire la suiteTOUS EN CLASSE

COVID 19 - EDUCATION : Prévue initialement le 02 j
L’information est tombée dans le journal de 23h de la télévision nationale ce 01 juin, à...
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MBOUR - Une ouverture des classes hypothétique : l
« L'heure est grave, notre pays est en danger. Vous devez pouvoir lire le malaise des acteurs....
Lire la suiteLES NTIC CHEZ VOUS

Les meilleurs IDE JavaScript
Pour rappel, un IDE ( Integrated Development Environment ou Environnement de développement ) regroupe un ensemble...
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