Entretiens (50)
Nous donnons la parole aux spécialistes, aux experts pour qu’ils partagent leur savoir-faire avec le grand public.
SPORT – ENTRETIEN EXCLUSIF : Santy Sène Agne, le handisport sénégalais dans tous ses états.
Le handisport reste encore un sport méconnu, ou du moins, peu célèbre au Sénégal. Toutefois, plusieurs disciplines sont pratiquées par les personnes vivant avec un handicap au Sénégal. Dans cet entretien, le Prédisent de la Fédération Nationale Paralympique Handisport, par ailleurs Député-Maire de la Commune de Sicap-Liberté, s’est a montré les défis qui attendent sa fédération et a lancé un appel aux autorités pour un accompagnement de ces athlètes.
Président, quel est la santé du sport paralympique a Sénégal ?
Santy Sène Agne : Le sport paralympique au Sénégal ne se porte pas mieux, ni pire que les autres sports. Tout le monde connait le handisport, mais il a des difficultés et cela fait longtemps que nous sommes sur les terrains de basket-ball, sur les pistes d'athlétisme… Donc, les sénégalais ont appris à nous connaître. Cela fait maintenant quelques années que nous sommes au niveau international. Nos athlètes vont à des compétitions au niveau Africain et même au niveau Mondial. Cela dit, cet engouement a fait que beaucoup de clubs sont nés et ils font du basket-ball etc... Mais ça demande des moyens et des exigences de plus en plus importants. Mais, malheureusement, handisport a cette caractéristique, qu'il partage avec d'autres sports d'ailleurs, de ne pas avoir de recettes au guichet et de ne pas avoir non plus de subventions conséquentes. Cela veut dire que tous les jours c'est une bataille pour arriver à trouver de quoi assurer le quotidien de handisport. Il faut jouer les championnats, des tournois mais aussi du social. Ce matin, j'ai reçu un athlète qui est venu me présenter une facture d'une prothèse. Ce n'est pas prévu dans la nomenclature sportive, mais nous sommes obligés de l'aider. De la même manière, nos athlètes sont allés à Marrakech, il y en a un qui a eu une rupture des ligaments que nous avons pris en charge. Nous sommes obligés de le faire. L'un dans autre, nous avons des difficultés mais, nous essayons de les surmonter, juste parce que si vous vous arrêtez aux difficultés, vous n'avancerez pas. C'est la raison pour laquelle, des clubs comme Mbour HandiBasket-ball sont fatigués mais, ils continuent toujours leur travail car c'est au bout de l'effort qu'il y a la réussite et ils le savent bien. Mbour de cette année, ce n’est pas Mbour il y a trois ans, les gens essayent progressivement de surmonter les difficultés.
Par quelle stratégie arrivez-vous à surmonter ces difficultés ?
La stratégique de la démonstration par la pratique d'abord, si vous ne faites rien, rien ne vous trouvera. Donc, les gens vont sur le terrain, ils s'entrainent, ils participent au championnat. Nous leur donnons peu, ils dépensent beaucoup mais ils tiennent à participer et au fur et à mesure les gens se rendent compte que vraiment nous devrons aider ces messieurs dames. Moi, personnellement, quand j'ai été pris comme président du handisport, j'aime à le raconter parce que le jour de la passation de service, je n'ai reçu ni maillot, ni ballon, ni fauteuil. Et, je me suis retrouvé ave zéro franc dans les caisses. Je suis élu le dimanche, le mardi les Mauritaniens sont venus nous inviter en disant, on vous attend mais, vous payez votre transport et il n'y avait pas 1f. Nous n'avions même pas d'équipe. J'ai dit que nous n'allions pas partir parce que nous n'avions pas d'équipe. Mais, les gosses étaient enthousiastes et me disaient qu’il faut que tu fasses tout pour que nous allions. Bref, nous sommes allés avec les moyens du bord. C'est ce jour-là, que le Maire de la ville de Dakar nous a connu et nous a aidés. C’est la raison pour laquelle, depuis lors nous osons organiser notre championnat. Vous savez, nous sommes le seul pays en Afrique et au sud du Sahara à organiser chaque année un championnat de basket-ball, et très difficilement. Mais, chaque année, on y réussit parce que nous y allons avec un autre enthousiasme à chaque fois. Les joueurs font des sacrifices, les dirigeants font des sacrifices, les responsables de haut niveau font des sacrifices. Il n'y a pas de secrets, nous travaillons car nous aimons ça et en plus les personnes handicapées de manière générale sont des hommes des femmes défi, ils aiment relever les défis.
Monsieur le Président, parlons maintenant du championnat de Parabasket qui est la discipline la plus célèbre, quel sentiment nourrissez-vous envers cette discipline ?
D'abord, un sentiment de fierté que chaque année nous jouons le championnat. Et, ce n’est pas évident. Chaque année des clubs râlent, se plaignent de tout maux mais ils reviennent le lendemain parce qu'ils aiment ça. Ensuite, parce-que nous nous rendons compte des progrès réalisés. Est-ce que vous savez qu'il y a au moins deux équipes entières de basket-ball de sénégalais qui jouent en Europe et qui viennent tous du championnat de Dakar ? Vous pouvez constituer aujourd'hui deux équipes nationales et tous ont appris à jouer du basket-ball ici, ils sont partis d'ici alors qu'ils étaient déjà des basketteurs et qui jouent dans les plus grandes clubs européens. C'est ça l'expertise sénégalaise, c'est les techniciens des clubs. C’est ça qui fait qu'aujourd'hui nous pouvons être fiers. Mais, en regardant les résultats. Vous savez au début, c'était des scores 7 à 2, 4 à 3 maintenant ils te placent 60 points, croyez-moi, cela veut dire que le niveau a beaucoup évolué. Maintenant, il faut que nous continuions le travail. C’est la même chose pour le para-athlétisme et vous avez un exemple Mamadou Bâ (Athlète mbourois qualifié aux Jeux Paralympiques de Tokyo, ndlr) est là, il y'a deux ans personne ne le connaissait. Nous avons fait des détections et il en est sorti, il a montré et aujourd'hui il a les minimas B pour aller aux Jeux paralympiques. Les minimas B, quand vous les avez, vous n’êtes pas loin des minimas A mais, il peut arriver que sans minimales A, qu'on aille avec les Jeux avec les minimales B. mais, on ne se contente pas seulement des minimas B, on veut l'envoyer au Maroc pour décrocher les minimas A, et il peut le faire. Donc, c'est le travail des athlètes, de l'engagement des dirigeants et des techniciens.
Cela suppose des détections au niveau des régions de l’intérieur du pays, est-ce à dire que c’est la raison de l’organisation des journées du 28 et 29 mai prochains à Mbour ?
En vérité, c'est plus de la compétition que de la détection. Parce que nous avons organisé de la détection il y a un an ou deux. Maintenant, ce que nous voulons, c'est sortir les talents. C’est pour cela que nous organisons des championnats para-athlétismes et qui vont avoir à Mbour, où on ne va pas amener le tout-venant. Parce que quand on faisait de la détection, chaque ville pouvait amener 50 athlètes. Maintenant, c’est 11 athlètes. C'est-à-dire, les meilleurs qui vont s'affronter pour qu'on détecte la bonne graine, la meilleure graine pour les années à venir. Donc ça sera des championnats et ce n’est pas n'importe qui qui vient, c'est les gens qui sont déjà détectés et qui ont déjà fait la preuve de leurs capacités.
Concernant les Jeux Paralympiques, nous avons déjà un Mbourois qui est presque à Tokyo, que pouvez-vous dire de ses performances ?
J'ai lu le rapport des techniciens et j'ai été très impressionné. Vous savez, seul le travail paye ! Le travail ne ment pas. Il y a des gens qui sont là depuis très longtemps mais qui n'arrivent pas à approcher un pallier mais à force de travailler, il n'y a pas de limites. Lui, il a montré qu'il a déjà des aptitudes. Maintenant, là où on l'attend, c'est la confirmation aux prochains Jeux que nous allons. Mais déjà, il a les aptitudes. Comme je vous dis, quand on peut être minimas B, c’est que vous avez les aptitudes. Cette année, nous avons déjà 2 qualifiés l'un en para-taekwondo (Sèye) et l'autre en para-athlétisme et lancée de Javelot, Youssouf. Nous avons trois minimas B. c'est-à-dire trois athlètes mais, c'est une première ! On n'a jamais vu ça. On a eu une fois un qualifié, c'est Youssouf et les autres étaient invités maintenant nous espérons que tout ce qui ont les minimas B vont les transformer. C’est ça que je vous ai dit, seul le travail qui compte et la volonté de l'athlète. Vous voyez qu’il vient de Mbour pour s'entraîner à Dakar. Il faut le faire mai, il ne le regrettera pas. J'ai le plaisir de vous annoncer que bientôt, il aura son appui à la fin de ce mois-ci et il pourra venir à Dakar tranquillement, acheter des tenues, et bien manger. Parce qu'il y a la diététique et c'est le fruit de son travail.
Que vous inspire le club de Handisport de Mbour ?
Vous savez, il n'y a pas de hasard, ils ont des leaders. Le leadership est très important. Ce n’est pas pour rien qu'ils ont deux membres dans le bureau national. Il y a des régions qui ne l'ont pas. Donc, cela veut dire qu'il y a un travail fait par l’administration. Moi, quand j'ai pris handisport, les athlètes étaient à la fois athlètes, entraîneurs, présidents, ils étaient tout. Dans les réunions de bureau les athlètes venaient et faisaient n'importe quoi. Quand je me suis approprié les choses et qu’elles soient claires dans ma tête, j'ai dit attendez les gars, que les administratifs administrent, que les techniciens entrainent et les athlètes qu’ils s'entraînent. Il n y a plus de confusion des genres. Petit à petit les gens ont compris que c’est la voix et ils commençaient à le faire. Mbour a la chance d'avoir des leaders et des athlètes qui en veulent et si vous avez ce mélange là….. Mais, Mbour aujourd'hui quand on évoque le championnat de basket-ball, on sait que Mbour bon an, mal an fera partie du carré d'as. Et quand on est au carré d'as avec un peu chance, on peut aller en final. Alors que tout est possible à la finale. Mbour fait partie des équipes qu'on cite pour dire attention, faites très attention à Mbour.
SPORT – SATDE DE MBOUR : le nouveau Coach Mamadou Dieng à cœur ouvert.
Le stade est résolument engagé dans une voie de renouvellement de toutes ses instances pour donner un nouveau souffle à l’équipe. Dans ce cadre, le nouveau bureau a fait confiance à l’expertise d’un jeune Coach qui a déjà trainé ses baskets dans beaucoup de clubs dans le cadre de sa formation. Mamadou Dieng, s’est ouvert à EnQuête pour répondre à nos questions. Dans cet entretien exclusif, cet homme du sérail revient sur sa philosophie du football, ses ambitions et sa vision du sport.
Propos recueillis par IDY NIANG
1- Présentez-vous.
Je m’appelle Mamadou Dieng. Je suis PEPS c’est à dire Professeur d'Education Physique et Sportive. Par ailleurs, je suis entraîneur de football titulaire de la licence B CAF, de la licence A UEFA de l'Université de Leipzig en Allemagne.
2- Pouvez-vous revenir sur votre carrière de Coach
Après une carrière de footballeur écourtée par les études je me suis lancé dans l’ambition de devenir entraineur car, après le Bac, automatiquement j'ai été conseillé par mon ancien professeur d'EPS du lycée Demba diop, Mr Cheikh Dione. Il m’a suggéré d'aller effectuer directement le concours de l'Institut National des Science de l’Education Populaire et Sportive (INSEPS) à l'Université Cheikh Anta Diop et à la suite que j’ai été admis en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives STAPS 1 et 2 ; ensuite la licence et la maîtrise STAPS. Dans ce cadre, comme mémoire de maîtrise j'avais choisi comme thème : « étude de quelques facteurs de blocage du football dans le département de Mbour ». Et c'est là que j’ai commencé mon premier stage au stade de Mbour en 2006 avec Abdoulaye Sarr comme Coach et le Président Karim Sarr. Durant cette période, j'étais à Mbour tous les week-ends et c'est à partir de là que tout a commencé. En effet, cette même année, je débutais avec le mouvement navétane avec l'ASC Rakadiou. En ce moment, j’avais comme capitaine d'équipe Kara Mbodj. Cette même année, nous étions champion zonal. En 2009, je prends les reines de l'ASC Grand Mbour : finaliste zonal, demi-finaliste communal, et demi-finaliste départemental. Entre 2009 et maintenant je suis passé par plusieurs formations sportives dont les plus célèbres sont entre autres le Touré Kounda où je suis passé d’entraineurs junior (2010-2011) à entraineur (2011-2012) où nous avons été finalistes de la coupe du parlement. Ensuite le Keur Madior FC notamment en 2013 où le club a été finaliste du tournoi de la montée. En 2014, Touré Kounda devenu Mbour Petite Côte, je suis revenu en tant que Entraineur adjoint chargé de la préparation physique avant d’être entraineur principal de la réserve. Ensuite, j’ai atterri à Saly Sport Club entre 2018 et 2019. Durant ce séjour, l’équipe a été sacrée championne régionale de la ligue de football de Thiès. Enfin de 2018 à 2019, j’ai été Sélectionneur régional de la catégorie U20 de Thiès. Nous avons été, champion national U20 lors des phases nationales de la petite catégorie 2019 à Fatick et à Kaolack. Maintenant, me voici Coach du Stade de Mbour.
3- Quelle est votre philosophie du football ?
Ma philosophie de jeu dépend en partie des joueurs que j’ai à ma disposition, de leur profil.
4- Quelles sont vos ambitions pour le Stade de Mbour ?
Le stade de Mbour, c'est le club qui nous a vu naître au quartier 11 novembre près de chez Paulo. Depuis tout petit, nous traversions la route pour aller regarder tous les entraînements et matchs du stade de Mbour. Le stade de Mbour, c'est notre club de cœur même si des fois le travail nous appelle ailleurs, dans d'autres club, c'est un club qu'on connait très bien et nos ambitions restent les mêmes que nos prédécesseurs qui ont effectué un travail de titan au sein du club. La seule ambition que nous avons en collaboration avec les dirigeants et avec toute la population mbouroise, c'est d'ici 10 ans, de bâtir un club de ville fort à l'image des grandes villes africaines de football. Un club de ville fort, c'est un club avec ces propres installations et des académies de jeunes, avec un projet ambitieux de développement sur le long terme à l'image des allemands (10 ans) qui demain pourront assurer la survie du club.
5- Quelles sont vos ambitions personnelles en tant que jeune Coach ?
Mes ambitions personnelles, c’est d’abord de marquer de par mon travail mon amour à ce métier, mes empreintes dans chaque club ou structure sportive ou je passe. Leur permettre d'avoir une bonne organisation, de participer au développement individuel et collectif de nos joueurs sur le court, moyen ou long terme. Ce qui éventuellement, nous permettra de gagner beaucoup de titres sur plan national, continental et mondial. Ensuite, je voudrais continuer aussi ma formation théorique et pratique car, dans ce métier tout est échange et on ne cessera jamais d'apprendre.
6- Quels sont les atouts dont dispose ton équipe dans les différentes compétitions ?
Les atouts dont notre équipe dispose c'est que, depuis l'année dernière nous avions misé sur la jeunesse et plus particulièrement la jeunesse mbouroise. Raison pour laquelle, chaque année, nous faisons monter des juniors dans l'équipe première afin d'avoir d'ici 3 ans une équipe compétitive et a majorité mbouroise. Donc, nous avons une équipe très jeune qui a encore besoin de maturité pour pouvoir jouer les premiers rôles dans ce championnat, car nous sommes en phase de construction.
7- Le derby mbourois, Stade de Mbour vs MPC, qu’est-ce que ça te dit ?
Moi, je ne vais pas parler de derby. Mais, juste un match de football d’un après-midi qui oppose deux équipes, des frères, des amis où il va falloir tout donner pour remporter la partie. Moi, j’ai eu la chance de vivre ses moments d'émotions au niveau de chaque club mais, je peux vous assurer que les jours de ce match, même les joueurs, les dirigeants, les supporters et les techniciens mêmes s'appellent comme si de rien n’était. Mais arrivé au terrain, que le meilleur gagne. Ce n'est pas un derby entre des frères ennemis mais, entre des frères amis.
EMMIGRATION CLANDESTINE : le témoignage poignant d’un rescapé.
Présentez-vous :
Je m'appelle Cheikh Barro. Je suis pêcheur et j'habite à Golf et je faisais partie de la pirogue qui avait échoué à Nouadhibou. Je peux vous dire que la pirogue transportait environ 100 personnes et 25 sont survécu
Qu’est-ce qui vous à pousser pour que vous faite l'immigration clandestine ?
Ce qui nous a poussés, c'est que la mer n'a plus de travail. Quand tu achètes du matériel à un million et quelques tu vas à la pêche et n'amènes rien malgré tes dépenses et autres frais nécessaires. Dés fois, on est même obligé de chercher encore à y rajouter quelque chose pour compléter la dépense quotidienne. C'était très difficile pour nous. Partir par les pirogues est plus facile que de partir par la voie normale. C'est pour cela que certains contractent des dettes pour partir, pour d'autres c'est leur mère qui leur a donné de l’argent. Moi, j'ai vendu mon matériel à 600000f la machine seulement.
A combien tu l'avais acheté ?
Je l'avais acheté en occasion à Yoff à 875000. Quand j'ai voulu partir, je l'ai vendu à 600000f
Combien tu as payé pour ton voyage ?
Sur la pirogue, j'ai donné 80000f. M,ais, dans la première pirogue on m'avait arnaqué. J'avais alors donné 350.000f parce qu’il y avait des problèmes et par la suite, j'ai plus entendu parler de la personne à qui j’avais remis mon argent. Mais, il est toujours à Mbour.
Maintenant, dans le voyage qu'est ce qui est à l'origine des problèmes et des accidents ?
Dans notre pirogue tout était OK. L'essence était pleine de 100 bidons et quelques. Il y avait aussi de l'eau à suffisance. On a fait le voyage de 2 jours à 4 jours il n’y avait aucun problème : on mangeait et on buvait correctement. Mais, durant ces 4 jours on ne voyait plus les 30 bidons et les sachets qu'on avait réservé.
C'était fini ?
Non, on ne les avait juste plus vus alors que tout était dans la pirogue. On a cuisiné pendant 4 jours et, un beau jour, on n’a plus rien vu. Les personnes commençaient à avoir faim et soif. On leur donnait maintenant de l'eau de mer et certains commençaient à mourir. Si quelqu’un meurt le matin, on attend jusqu'au soir pour jeter le corps à la mer.
Qu'est-ce qui les faisaient mourir ?
C'est la faim et la soif. Dans la pirogue, il y avait les "adior-adior". On leur donné à manger et ils restaient très calme dans un coin. Il y avait également des personnes d’autres ethnies et le soir leurs femmes venaient dans la pirogue.
Vous aviez amené des femmes avec vous ?
Non.
D’où est ce qu'elles viennent donc ?
C'était ça le problème. On ne sait même pas. Ils faisaient n'importe quoi dans la pirogue. Certains arrivaient à les voyaient mais d'autres non. Moi, quand on a fait 3 jours de voyage, j'ai dit au capitaine qu’il y avait d'autres personnes intruses dans la pirogue parce que, quand je me couchais, de là où je posais ma tête, j'entendais des hurlements de personnes. Par la suite, la situation a pris des proportions qui nous ont dépassés. Il y avait une personne qui se nomme Andaw. C’était un jumeaux lebou. Il y avait quelque chose qui lui montrait que quand les sorciers allaient aux toilettes, c’était des gris-gris qui sortaient. Dès lors, si on ne faisait pas quelque chose contre les adior, s’ils ne descendaient pas de la pirogue, on n’arriverait jamais. On a alors pris les gris-gris et on les a mis devant un adior-adior. Il ne voulait pas les voir car, il m'a dit que s’il les voyait, il allait descendre de la pirogue et s’envoler. Andaw a dit de le laisser parler avec eux. Il y va et laisse les gris-gris par terre. Ils étaient environ 7 personnes. Il a parlé avec et certains d'entre eux ont voulu l’étrangler avec une corde pour le tuer. Là, on a allumé une torche et leur dit d'arrêter parce que : ’’si on vous a envoyé pour nous faire du mal, cette personne c'est nous qui l'on envoyé laisser le tranquille’’, leur dit-on. Alors, on leur a dit de discuter entre eux pour trouver une solution rapide, sinon nous allons les tuer. Finalement, on les a attaqués. A la première rangée, il y avait un adior qui s'appelle Touré Bâ, mais qui n’était pas avec eux. Celui avec qui il était monté à bord, a rendu l’âme très tôt. On a vu des gens qui tranchaient des oignons, après ils ont coupé une partie du nez et de l'oreille de cette personne, on les a vu manger ces parties du corps de l’homme. Certains pleuraient même. Après, on les a tous attaqués et les a jetés dans la mer. C’est après que la pirogue a recommencé à voguer normalement. Et juste avant le dernier virage pour arriver en Espagne, sur l'île, la pirogue ne pouvait plus bouger. Ils mettaient leurs mains sous la pirogue, dans l’eau, pour l'empêcher de bouger. On voyait que le moteur de la pirogue s'arrêtait. Quand on a essayé de le déclencher, la pirogue a reculé de presque 80 km dans la mer. Pourtant c’était une machine neuve. L'autre machine de secours, on l'avait dépiécée et réparée à 300000f. C’est, du reste, cette ancienne machine qui nous a amenés jusqu'en Espagne. On avait gardé deux de ces sorciers parce qu’on ne voulait pas les tuer. Mais, ce sont ces deux personnes qui nous ont retardés sur le chemin. Ils ont continué à faire ce que les autres nous faisaient au paravent. Finalement, on les a jetés dans la mer. Nous avons vogué jusqu'à trouver des bateaux pour demander de quoi manger et boire mais, malheureusement, les bateaux nous arrosaient avec de l'eau pour qu'on chavire. En plus de cela, les monstres qui voulaient nous manger. Un passager qui venait de Guet Ndar, nous dit qu’il reconnaissait Nouadhibou. Et on est entrés à Nouadhibou.
ENTRETIEN – COVID 19 : Le directeur de la Pharmacie et du médicament sur le stock de chloroquine au Sénéquine : « On en a suffisamment pour tenir au moins jusqu’à 5000 à 6000 doses »
Pendant que le Coronavirus se propage à pas de géant dans le pays, la communauté scientifique est en train de son côté de chercher les moyens les plus efficaces d’éradiquer ce fléau le plus rapidement possible. Au Sénégal, grâce à la chloroquine 315 patients sont maintenant guéris. Toutefois, un autre produit est brandi par les malgaches : l’artémisia. Quel est leur niveau d’efficacité face au Covid 19 ? Le stock disponible rassure-t-il les professionnels du médicament ?
EnQuête s’est intéressé à ces questions avec le Professeur Yérim Mbagnick Diop, Directeur de la Pharmacie et du Médicament.
Aujourd’hui nous sommes dans un contexte où le Covid 19 est en train de se propager dans le Sénégal malgré les avancées notées sur le plan médical où l’on note même des cas de patients guéris grâce à la chloroquine. Pourriez vous nous donner la situation du Sénégal par rapport à la chloroquine et au Covid 19 à ce jour :
La situation du Sénégal dans la disponibilité de la chloroquine est confortable. On en a suffisamment pour tenir au moins jusqu’à 5000 à 6000 doses. Ensuite, on attend d’autres livraisons, normalement. Mais, avec les grossistes se pose un petit problème, parce que comme vous le savez, il y a des restrictions au niveau de l’Inde et au niveau de certains pays. Il alors faut un peu activer la voie diplomatique pour pouvoir permettre à ces industries de pouvoir exporter vers le Sénégal. Mais pour le moment, il y en a suffisamment.
Donc l’information qui circulait et qui faisait état d’une potentielle rupture de la chloroquine au Sénégal n’est pas avérée ?
En fait, cette information c’était en son temps. C’était une rupture virtuelle plutôt. Du fait de l’avènement du Covid 19, puisqu’on ne savait où on allait, on avait choisi de bloquer un peu le stock disponible, pour une éventuelle prise en charge de cas Covid. Parce qu’en moment également il y avait la polémique autour de son efficacité et autre. Mais c’était des précautions pour la prise en charge des cas Covid. Ça a créé un peu de tension, mais c’est dépassé depuis.
Les autres malades qui utilisent la chloroquine pour leurs soins peuvent-ils se rassurer de la disponibilité du médicament pour eux également ?
Affirmatif je dirai. Nous avons pris une circulaire en direction des professionnels du médicament, pour leur dire de contingenter la quantité de médicament actuellement. Parce qu’on ne voudrait pas qu’il y ait de la panique et que les gens se mettent à stocker des médicaments. Donc les malades de rhumatisme, de lupus peuvent aller dans leur officine choix demander leur médicament. Mais, avec une prescription médicale. Et sur cette base on peut leur fournir le médicament. Et même si ce n’est pas disponible dans leur pharmacie, la pharmacie peut commander chez les grossistes. Du côté des grossistes également nous avons vraiment contingenté pour plafonner les commandes pour que les gens ne stockent pas la chloroquine et ne détournent pas son utilisation vers des cas supposés de Covid. La prise en charge des malades du Covid se fait en, effet, au niveau des centres de traitement qui sont édifiés à cet effet. Donc il n’y a pas d’automédication avec la chloroquine dans le cadre du Covid 19. Et c’était cela qu’on voulait éviter. Donc, il n’y a pas de problème. On travaille à maintenir le stock, c’est un travail continu et on espère qu’on sera à l’abri de rupture.
Monsieur Diop, nous avons vu le Président de la République passer une commande d’artémisia au niveau du Madagascar, pouvez vous nous dire quelle est la différence entre la chloroquine et l’artémisia dans le cadre du Covid 19 ?
Déjà pour un éclairage du public, pour le Covid 19, il n’y a pas de traitement efficace attesté scientifiquement par la communauté scientifique, y compris la chloroquine. Il y a la chloroquine, il y a également des antiviraux et beaucoup de médicaments qui sont en train d’être testés, mais pour le moment ils ne sont pas encore déclarés médicaments Covid purs et durs. De la même façon, l’artémisia a été évoqué par les malgaches, - qui je le rappelle n’ont pas beaucoup de cas d’après les informations – qui disent utiliser ce produit curatif. Maintenant sur la base de la commande du Président de la République, nous techniciens et scientifiques, on ne peut qu’encadrer cette utilisation. Donc, on va incessamment réunir le Comité d’experts du médicament, qui va se prononcer sur les voies et moyens d’encadrer sur le plan éthique, scientifique, technique et règlementaire l’utilisation de l’artémisia. Une réunion se tiendra dès demain. Et cela c’est une commande du comité de gestion de l’épidémie avec le Docteur Marie Khemesse. Si je te donne un avis scientifique dors et déjà, il a d’autres propositions de plantes médicinales qu’on aura sur la table pour étudier celles qui ont des possibilités curatives. On évaluera toutes ces possibilités pour voir celles qui pourraient ou non être utilisées dans le cadre de la riposte contre le Covid 19.
Cela dit, je voudrais en profiter pour dire qu’il y a beaucoup de personnes qui commencent à vendre des tisanes à base d’artémisia qui sont en train d’exploser dans certaines zones du Sénégal. Je veux rappeler aux gens que même si ça existe au Sénégal, s’ils le présentent comme complément alimentaire, les compléments alimentaires sont réglementés au niveau de la zone UEMOA. On ne peut pas se lever un beau jour, faire son mélange et dire que qu’on vend un complément alimentaire. Nous allons essayer de mettre de l’ordre dans tout ça, parce nous sommes dans un pays organisé sinon les gens vont se mettre à spéculer parce que comme vous le savez, les périodes de crise sont les périodes des mauvais commerces. Nous l’avons vu avec les masques dont les prix sont passés du simple au centuple. Un masque qui coutait 50f coûte maintenant 500f. Mais c’est au niveau international ; ce n’est pas simplement le Sénégal qui subit cette surenchère. On essaie quand même de réguler. Il faut que les gens se calment. Il y des techniciens qui prennent en charge cette question. On va voir dans quel protocole on va introduire l’artémisia et l’encadrer. Si c’est avéré efficace pour la prévention ; on va l’organiser également. C’est comme ça que marchent les choses.
MBOUR – Saer Kébé déplore le refus de sa bourse sans « fondement juridique ni administratif ».
L’étudiant Saer Kébé, se sent lésé par la Direction des bourses. En effet, inscrit régulièrement à la faculté des sciences juridiques et politiques à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar et ayant rempli tous les critères requis, l’ancien élève du Lycée Demba Diop s’est vu refuser l’obtention de la bourse par la Direction qui loge au Building Maginot. « Après l'obtention de mon baccalauréat, je me suis inscrit à la faculté des sciences juridiques et politiques de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar. Et comme tout étudiant inscrit à l'université public et qui réunit les critères doit obtenir une bourse, moi après la sortie des listes sur la plateforme, j'ai vérifié mon nom mais je ne l'ai pas vu », a-t-il informé à Mbour Info dans un entretien.
Dès le début, l’étudiant, croyant que ce fut une erreur, s’est rendu sur les lieux, mais la réponse servie par les agents ne l’a pas convaincue. « J'ai pensé que c'était une omission, mais quand je me suis rendu à la Direction des bourses, on m'a notifié que mon statut d'ancien détenu m'empêche d'obtenir une bourse », renseigne Saer Kébé. Il estime ainsi que cette décision n’a aucun fondement juridique ni administratif.
Dans ce sens, il poursuit, « Personnellement, ça m'a choqué, ça m'a fait mal parce que le statut juridique n'intervient pas et ne fait pas partie des critères pour obtenir une bourse », déplore-t-il. Pour lui, les critères pour obtenir une bourse que tout le monde connaît, c'est qu'il faut être de nationalité sénégalaise, avoir le baccalauréat au premier tour, ça dépend des séries, avec une moyenne de 10 et plus...
Dans cette lancée, il a exprimé son amertume face à cette décision « arbitraire » qui n’a aucun fondement légal. « Cette décision je pense que fait mal d'autant plus que moi je comptais sur cette bourse pour vraiment régler certaines dépenses concernant mes études », se désole l’étudiant.
Pour le moment, aucune solution n’a été trouvée par les autorités compétentes dans ce contexte marqué par le couvre-feu et l’état d’urgence qui d’ailleurs d’argument à la Direction des Bourses. « Pour l'instant, il n'y a rien de concret mais je me suis entretenu avec le Directeur, lui même, il m'a dit qu'après la levée du couvre-feu, on va essayer de voir quelles solutions opter pour régler définitivement ce problème. Mais, pour l'instant, il n'y a rien de concret », confie Saer Kébé.
IDY NIANG
EDUCATION : Après ses 55% de réussite au bac l’année dernière, le Lycée Demba Diop fixe ses objectifs pour cette année.
Troisième plus grand lycée du pays en termes d’effectifs avec ses 3636 potaches, le lycée Demba Diop de Mbour a enregistré 55% de réussite au baccalauréat 2019 ; soit un taux supérieur à la moyenne nationale qui est de 37,22. Pour cette année, le Proviseur Yankouba Niassy a annoncé son ambition de hisser ces résultats jusqu’à 60%.
Se prononçant dans un entretien exclusif qu’il nous accordé en marge d’une cérémonie de récital du coran organisée traditionnellement à la veille de chaque année scolaire, Yankouba Niassy a annoncé ses couleurs pour l’année à venir. Il soutient à cet effet que cet objectif n’a pas évolué puisque c’est le même que l’année dernière. « On a toujours été ambitieux. Nous avions ciblé 60% au moins l’année dernière, on n’y est pas arrivé. Alors nous avons maintenu cet objectif pour le réaliser cette fois-ci », défend le Proviseur. Avant de préciser : « Nous allons tirer suffisamment de leçons de ce qui s’est passé, corriger ce qui nous a empêché d’atteindre cet objectif, renforcer les acquis espérant en cela arriver à relever ce challenge de 60% au moins pour le bac et augmenter en même temps le nombre de mention jusqu’à 65 ». Pour lui, il ne sert à rien de se fixer des objectifs utopiques. « Mieux vaut se fixer des objectifs réalisables et se battre pour les réaliser
Dans cette lancée, Yankouba Niassy rappelle que pour arriver à cet objectif, il faut nécessairement que des moyens soient mobilisés. Dans ce cadre il indique que les difficultés à Demba Diop sont énormes. « Vous savez que les inscriptions sont plafonnées à 10.000f. Aucun Chef d’établissement n’a le droit de dépasser cette somme à moins que ce soit l’Association des Parents d’Elèves qui engage ses responsabilités de demander une inscription supplémentaire pour un besoin déterminé », rappelle-t-il. Sur cette inscription, explique Monsieur Niassy « vous payez les tenues scolaires, une ligne téléphonique privée, vous payez des salaires annuelles à un personnel qui n’est pris en charge ni par la Mairie, ni par le Conseil Départemental. Nous les payons sur ces fonds-là, ensuite vient le fonctionnement en papier, en encre, en réparation de tables-bancs, ou de tableaux d’un établissement de près de 4000 élèves. Tout cela dans les 10.000f ».
Dans la foulée, Yankouba Niassy signale que l’Etat a toujours donné les dotations. « Mais, précise-t-il, ces dotations ne viennent jamais en argent liquide. C’est du papier et vous faites une commande avec des fournisseurs agréés. Mais nous savons que les fournisseurs ont leur vérité de prix. Ce sont des prix agréés et surveillés par la perception qui sont nettement supérieurs aux prix du marché. Mais puisque c’est à prendre ou à laisser, nous prenons ».
Il convient dans ce sens que son établissement partage les même réalités avec tous les autres du pays, mais estime que des fois c’est la taille des établissements qui diffèrent, et les réalités spécifiques à chaque école dans la mesure où il y a des sites qui sont vétuste comme Demba Diop. « Vous savez que c’était l’ancienne école normale dont nous avons hérité du patrimoine. Alors, les bâtiments sont vétustes, la plomberie est pourrie, la voirie, les installations électriques sont archaïques », déplore M. Niassy qui continue, « ce sont des réparations à n’en plus finir ! ».
Malgré tous ces écueils, le Proviseurs rappelle que l’année dernière son établissement a fait un bond qualitatif dans les résultats du bac. « Au niveau des résultats nous avons eu 55% contre 51% l’année précédente. En termes de mentions, nous avons eu 58 en 2019 contre 41 en 2018. A cela s’ajoute les 3 trois lauréats au concours général 2019 contre 2 l’année d’avant. Même au niveau du sport scolaire, nous avons eu beaucoup plus de médaille aux finales régionales », se réconforte-t-il.
Du point de vue de l’Association des Parents d’Elèves, « ces résultats ne sont pas une surprise vu la motivation des Professeurs et leur rigueur dans le travail, ainsi que l’administration ». Pour Mouhamed Keyta, c’est plutôt des résultats qui auraient pu être plus consistants vu tous les efforts fournis par les enseignants de cet établissement qui devraient finir de hisser le Lycée à l’excellence. Dans ce sens, « l’APE réitère son engagement à accompagner toutes les initiatives du Lycée en vue d’améliorer les résultats afin de porter ce lycée dans le rangs des lycées d’excellence », promet M. Keyta.
DITISH B
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CHEIKH ISSA SALL, PRÉSIDENT DU MOUVEMENT AM DEM : « Il n’y a que la victoire aux législatives et la réélection du président Macky Sall qui nous intéresse »
Après avoir célébré le premier anniversaire de son mouvement en février dernier, le président Cheikh Issa Sall entend poursuivre le travail de massification, de mobilisation, d’animation et de sensibilisation pour une inscription massive sur les listes électorales. Son ambition : donner une majorité très confortable au président Macky Sall aux élections législatives de juillet prochain et assurer sa réélection en 2019.
Vous vous êtes engagés à œuvrer pour la victoire de Macky Sall aux élections législatives du 30 juillet prochain et sa réélection en 2019. Comment comptez-vous vous y prendre ?
Comme nous l’avons toujours fait, nous allons poursuivre nos activités, notre campagne pour les inscriptions sur les listes électorales, notre démarche de proximité, tout en étant encore plus proches avec les populations et trouver des solutions à leurs préoccupations. Nous allons continuer à prôner la bonne parole, leur montrer toutes les réalisations du président Macky Sall, continuer à rendre intelligibles tout ce qui se trouve comme projets, projections et perspectives dans le Plan Sénégal émergent (Pse). Je pense qu’un Sénégalais qui aime son pays et qui souhaite que son pays fasse partie des pays les plus puissants, si on lui explique tout ce que le président Macky Sall est en train de réaliser, le positionnement géostratégique et diplomatique du Sénégal depuis son avènement ne peut qu’adhérer à sa vision et l’accompagner pour les élections législatives en lui donnant une majorité écrasante le 30 juillet 2017 et souhaiter sa réélection au premier tour en 2019 pour lui donner les moyens politiques de réaliser tout ce qui est projets et réalisation dans le Pse. Macky Sall est un président qui est venu avec beaucoup d’ambitions, d’énergie et de projets. C’est un président jeune qui est venu avec beaucoup de crédibilité, mais aussi avec des principes sur la bonne gouvernance, la démocratie, la bonne gestion et surtout sur le patriotisme. Avec lui, tous les Sénégalais devraient s’engager pour lui permettre d’avoir une majorité politique à l’Assemblée et un second mandat. Le mouvement AM DEM va, pour sa part, continuer à convaincre les plus sceptiques pour élargir sa famille politique et massifier davantage et gagner de manière large les prochaines élections.
Ne craignez-vous pas que les querelles de leadership viennent freiner cette dynamique ?
C’est la politique qui est là, surtout dans le département de Mbour. Depuis le début, on a tout fait pour rassurer les uns et les autres. Et je le réitère, nous ne sommes pas intéressés par des questions de positionnement. Tout ce qui nous intéresse, c’est le président Macky Sall, c’est aussi de rendre visibles ses actions et réalisations, d’élargir sa famille politique. Nous ne revendiquons aucun statut. Mais il y a des gens qui ne sont préoccupés que par des questions de positionnement. Si on se décarcasse pour que le président Macky Sall puisse gagner les élections et nous savons qu’il va les gagner, c’est pour lui donner les moyens politiques de pouvoir réaliser le Pse, lui donner les moyens politiques de pouvoir gouverner avec équilibre et stabilité notre pays et le mener vers les pays les plus développés au monde. Donc, nous ne sommes pas intéressés par des postes. Tout ce qui nous intéresse c’est la victoire du président de la République, la victoire du Sénégal et du département de Mbour. Je lance encore une fois un appel à l’unité. On va vers des échéances extrêmement importantes, il faut que tous les acteurs, les responsables politiques qui travaillent pour le président Macky Sall puissent unir leurs forces, leurs esprits et leurs cœurs. Ce n’est pas des élections locales, mais des élections pour donner à notre leader une majorité confortable à l’Assemblée nationale, mais aussi pour assurer sa réélection.
Quelles sont les perspectives de votre mouvement ?
Nous avons célébré la première année du mouvement et c’était pour nous une occasion de montrer à l’opinion publique nationale et internationale que les populations adhèrent à la philosophie politique adoptée par le mouvement AM DEM et qui consiste à une démarche de proximité basée sur des actions sociales concrètes et qui sont conformes à la vision du président de la République et des actions sociales qui sont en étroite relation avec ce que les populations pensent être des solutions pour leurs préoccupations. Comme je le dis, on est des cartésiens, on s’attaque aux questions les plus faciles en attendant d’avoir les moyens de dérouler les problèmes les plus compliqués. Cette démarche a été plébiscitée lors de la célébration de notre premier anniversaire par les populations qui ont répondu massivement à notre appel. C’est la vision du président Macky Sall, à travers le Plan Sénégal émergent (Pse), qui a été plébiscitée parce que tout ce que nous faisons, c’est de montrer la pertinence de cette vision, mais aussi de rendre visibles les réalisations concrètes de Macky Sall par rapport à la mise en œuvre du Pse. Donc, tout ce que nous faisons, c’est d’adopter les valeurs prônées par notre leader. Si les populations ont répondu massivement à notre appel, c’est parce qu’elles ont maintenant compris la vision du président Macky Sall et ont voulu montrer leur reconnaissance par rapport à tout ce qu’il fait pour le département de Mbour en particulier et le Sénégal en général. Nous allons donc poursuivre ce que nous avons entamé dans le cadre de la massification, de la mobilisation, de l’animation, de la sensibilisation pour gagner largement les élections dans le département.
D.FAYE
BOCAR LY (DG DE LA SAPCO) : ‘’La subvention que l’Etat nous donne est largement en dessous…’’
Malgré la mise en œuvre d’un plan stratégique et les milliards reçus de l’Etat du Sénégal, la Société d’aménagement de la Petite Côte (Sapco) peine à atteindre ses objectifs. Dans cet entretien accordé à EnQuête, Bocar Ly revient sur l’endettement de la structure qu’il dirige, le litige qui le lie à l’hôtel Savana, son fonctionnement…
En 4 ans, la Sapco a reçu 16 milliards de F CFA de subvention de la part de l’Etat du Sénégal. Quel résultat pouvez-vous présenter au grand public pour qu’il sache que vous méritez l’argent du contribuable?
Les 16 milliards dépassent les 4 ans auxquels vous faîtes référence. Si on ouvre les archives, on constatera que c’est bien avant que je n’arrive à la tête de la direction. La question n’est pas si la Sapco mérite ou ne mérite pas cet argent. En réalité, la Sapco a besoin d’au moins un milliard de F CFA pour fonctionner. C’est le minimum. Et depuis très longtemps, cela a été toujours le cas. D’ailleurs, le budget de fonctionnement de 2012 en est une parfaite illustration.
Ça, c’est le bilan financier (il brandit un document), je n’invente rien. Je vous montre le total des charges d’exploitation de la Sapco. En 2012, ces dernières étaient estimées à un milliard neuf cent soixante dix mille francs Cfa. Cet argent a été utilisé pour payer les salaires et autres... En 2011, c’était un milliard deux cent mille francs Cfa. Les recettes de la Sapco c’est-à dire, le produit de l’exploitation, s’élèvent à un milliard huit cent vingt neuf mille francs. Donc, on ne peut pas faire face à des charges d’un milliard, si la source des recettes a été amputée.
Vous avez un budget de fonctionnement de 500 millions de francs Cfa par an, malgré tout, vous ne cessez de solliciter auprès du conseil d’administration l’utilisation du budget d’investissement pour faire face aux charges. Pourquoi ?
Est-ce-que les 500 millions suffisent pour remplacer 1 milliard de recettes ? C’est la question, elle est là ! Pour fonctionner correctement, nous avons besoin de plus que ça. Si on parvenait à avoir au moins 1 milliard de F CFA, on pourrait payer les salaires et faire face aux charges d’exploitation. Sur le milliard que nous réclamons, l’Etat nous donne uniquement 500 millions F CFA. Les subventions d’investissement prennent normalement en compte les besoins de gestion des domaines. En réalité, si aujourd’hui on vous donne de l’argent pour réaliser des projets dans les autres entreprises, c’est au moins 25% qu’ils mettent pour assurer la gestion des projets. Nous, nous n’avons même pas demandé 10%. Voilà la réalité des faits.
Quelle est, aujourd’hui, la principale difficulté de la Sapco ?
La principale difficulté de la Sapco, c’est le fait qu’on ait rendu le bail et que les nouveaux projets ne sont pas prêts. On n’a pas les recettes pour faire face aux besoins de la Sapco. La Sapco qui est une société nationale devrait être une entreprise rentable. Une société dont le fonctionnement est équilibré doit avoir recettes et dépenses. Notre source de recettes principales c’était le bail de Saly, mais on ne l’a plus. Les dépenses sont toujours là. La subvention que l’Etat nous donne n’est pas équivalente à ce qu’on pouvait attendre des recettes. C’est largement en dessous.
Les conflits avec Savana semblent plomber la Sapco. Or, vous devez 1,4 milliard F CFA à cette entreprise qui demande aussi 30 milliards de dommages et intérêts. Où est-ce que vous en êtes avec ce dossier ?
Le chiffre n’est pas exact. Il y a une condamnation de la Sapco qui est de 1,3 milliard F CFA et les astreintes. Maintenant, que Savana demande 30 milliards de dommages et intérêts, je n’ai pas cette information-là. Je sais qu’il y a une condamnation et la Sapco va payer. Mais aujourd’hui, elle n’est pas en mesure de le faire.
Quelles sont les conséquences de ces litiges sur vos activités ?
Ça nous bloque dans le recouvrement de nos avoirs. Ça nous empêche de dormir. Quand on est condamné, on est condamné. C’est une condamnation et toute condamnation doit être exécutée. Nous cherchons les solutions avec l’Etat. L’année dernière, on espérait que l’Etat allait nous aider à régler ce problème. Maintenant, on est en négociation avec le ministère de l’Economie et des finances et du plan. On espère régler ce litige dans les plus brefs délais.
La gymnastique bancaire à laquelle vous vous livrez avec la Sgbs grâce à un découvert spécial coûte cher. Sur une prévision de 875 000 francs CFA, la Sapco a payé finalement 4. 937 393 francs, soit 564,27% de taux d’exécution. C’est énorme non ?
C’est aussi méconnaître comment fonctionnent les sociétés. Les sociétés d’Etat n’ont pas vocation à déposer leur argent dans des comptes bancaires. On ne va pas prendre l’argent de l’Etat pour le mettre dans les comptes de privé. On préfère le laisser dans les caisses de l’Etat pour qu’il puisse régler ses problèmes. Même si on dit qu’on a tant de milliards dans nos caisses, c’est dans les caisses de l’Etat. Maintenant pour les besoins de fonctionnement, on alimente nos comptes. Pour cette alimentation, on le fait de façon intelligente. Avant de payer par exemple, les salaires, il faut les verser dans nos comptes. Parce que les salaires sont ventilés par les banques pour qu’il n’y ait pas de dysfonctionnements et qu’on puisse les payer à temps. Si l’autre chèque n’est pas arrivé, on procède à un découvert qui nous permet de régler à temps les salaires et que ça soit remboursé tout de suite. Ça, c’est ce que font toutes les sociétés d’Etat.
Les pertes de la Sapco sont importantes, la dette aussi. Mais comment expliquer ce chiffre de 5 567 748 000 francs de dette financière diverse uniquement pour l’année 2015 ?
Les pertes ont commencé en 2012, quand le bail a été rendu parce qu’il n’y avait plus de recettes. En 2012, la Sapco a accusé une perte de 58 millions. Ensuite en 2013, on a perdu 810 millions 757 mille 740 F Cfa. Je n’étais pas là. En 2014, la perte était de 881 457 614 et la aussi je n’étais pas encore là. Il faut cumuler toutes ses pertes pour savoir la somme exacte. En 2015, la perte a diminué. Ça, c’est ma première année de gestion. On n’a pas encore le bilan financier de 2016, mais elle est encore moindre. On a fait un chiffre d’affaires plus important en 2016.
Les pertes s’expliquent par les dettes que les gens nous doivent. On nous doit de l’argent. Si ce n’est pas payer au bout de deux ans, on le met en position et ça rentre dans les pertes. Mais on a moins de pertes car, le chiffre d’affaires monte. Par exemple en 2015, le chiffre d’affaires était de 52 millions F CFA. Cette année, on a quand même fait un chiffre d’affaires de 200 millions de francs CFA. A part celles dues à Savana, nous n’avons pas d’autres dettes. Nous n’avons pas emprunté de l’argent. On ne doit rien à personne, sauf au Fisc à qui on doit des arriérés qui datent de longtemps. C’est-à-dire, avant mon arrivée à la direction de la Sapco.
Lors d’un CA, vous avez dit ‘’’que le meilleur schéma serait de confier l’aménagement à CSE et le développement à REMSA’’. Vous dites avoir introduit une demande de restitution du bail de Saly. Voulez-vous remettre en cause le plan d’action 2016-2017 ?
Le plan d’action, je l’ai mis en place, je ne peux pas le remettre en cause. C’est faux. Quand on s’est rendu compte que les fonds nécessaires pour la viabilisation de Pointe Sarène n’étaient pas disponibles et que l’Etat ne mettait pas à notre disposition tous les fonds, on a dit qu’on va chercher des partenaires pour préfinancer l’aménagement technique et financier. On a demandé à des privés de venir avec nous pour qu’on fasse un projet global où il y aura l’aménagement et le développement. Nous avons trouvé 4 à 5 offres de gens qui étaient prêts à préfinancer des aménagements et à réaliser des projets. Parmi ces offres, il y a celle de CSE qui prend aussi en compte la route Mbour-Joal et 20 kilomètres de route à Mbour. Et je m’étais battu pour que cette offre passe.
Ça devait régler le problème de l’accessibilité Mbour-Joal et un problème de la ville de Mbour qui me tient à cœur. Et ça règle le problème de Pointe Sarène, qui est ma principale option. Donc, je voulais que cette offre de CSE puisse être acceptée par l’Etat. REMSA, qui est un groupe franco-italien, a fait une offre globale sur le projet qui prend en compte l’aménagement entière du site de Pointe Sarène, la construction des 5 hôtels, des 120 villas, des clubs sport, du club loisir, des centres commerciaux. REMSA était prêt à dépenser plus de 200 milliards. Mais, il demandait à la Sapco un apport de 10 milliards. L’offre me semblait trop belle pour être vraie, mais je voulais y aller. Et je voulais avoir la garantie que mes routes et mes réseaux se fassent. C’est pour cela que j’ai dit que je prends CSE et le reste je le confie à REMSA.
Il se pose un problème de compréhension des textes qui régissent la société. N’est-il pas temps de clarifier le statut juridique de la Sapco ?
Il n’y a aucun problème. Aucun problème, on s’entend parfaitement bien sur tout ce qui régit la Sapco. Je ne sais pas qui veut créer un problème d’incompréhension. Et je ne vois pas où se situe le problème.
Quelles sont vos relations avec la Société d’aménagement des sites touristiques, la Direction des études et de la planification (DEP) et la Direction des investissements et de la promotion touristique (DIPT) qui semblent avoir les mêmes missions que la Sapco ?
En réalité, des gens cherchent à mettre des bâtons dans les roues du ministre. Le ministère joue pleinement son rôle, nous jouons pleinement le nôtre. Nous nous complétons. Nous n’avons aucun problème. Nous sommes tous sous la tutelle du ministre du Tourisme. Quand on fait des démarches on le saisit, on l’informe, on discute avec lui. Il nous donne ses orientations et on exécute. L’investissement du tourisme ça ne s’arrête pas seulement aux projets, c’est beaucoup plus large. Nous n’avons pas la prétention de tout faire et nous n’allons pas à l’encontre des orientations définies par le ministre.
Vous dirigez une société déficitaire, à la limite budgétivore qui a du mal à faire des résultats positifs. Comment pouvez-vous justifier, dans un tel contexte, l’augmentation du salaire du DG à 3 millions et celui du PCA à 2 millions ?
Il n’y a pas eu d’augmentation. Mon prédécesseur (Ndlr Paul Faye) avait augmenté son salaire, il gagnait 5 millions. Moi, quand je suis arrivé, je l’ai ramené à 3 millions. Le salaire du PCA, je l’ai remis à son niveau, c’est-à-dire 2 millions. Il n’y a pas eu d’augmentation.
De quelle liquidité financière pouvez-vous vous prévaloir pour porter les jetons de présence des administrateurs de 25 000 F à 150 000 CFA en 2013, puis a 200 000f CFA par séance, depuis 2015 ?
En 2013, je n’étais pas là ; donc l’augmentation de 25 000 à 150 000 F CFA, ce n’est pas moi. En 2015, quand je suis arrivé, j’ai trouvé les jetons ainsi. Et j’ai continué à payer ce que j’ai trouvé. Je n’ai ni augmenté, ni diminué et je sais que dans les autres CA, les gens gagnent plus. Nous faisons partie de ceux qui paient le moins leur conseil.
Pourquoi accorder des jetons de présence au représentant du contrôleur financier qui n’est pas parmi les administrateurs ?
Ça c’est réglé. C’est quelqu’un qui participe activement au conseil, qui joue pleinement son rôle. Je pense qu’il méritait ça en tant qu’acteur. Maintenant, si les textes disent qu’il ne doit pas être payé, alors on applique les textes. Depuis qu’on a soulevé la question en CA, on ne le paye plus. On l’a fait une fois ou deux après tout est rentré dans l’ordre.
PAR KHADY NDOYE (MBOUR
Source : L’Enquête
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Secteur informel : le Ministre de l'artisanat invite les acteurs à se formaliser

Khassim Seck C’est en marge d’un atelier organisé les 24et 25 mars que le docteur Pape Abdoulaye... Lire la suite
ENTRETIENS
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SPORT – ENTRETIEN EXCLUSIF : Santy Sène Agne, le handisport sénégalais dans tous ses états.
Le handisport reste encore un sport méconnu, ou du moins, peu célèbre au Sénégal. Toutefoi... Lire la suite
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SPORT – SATDE DE MBOUR : le nouveau Coach Mamadou Dieng à cœur ouvert.
Le stade est résolument engagé dans une voie de renouvellement de toutes ses instances pou... Lire la suite
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EMMIGRATION CLANDESTINE : le témoignage poignant d’un rescapé.
Présentez-vous : Je m'appelle Cheikh Barro. Je suis pêcheur et j'habite à Golf et j... Lire la suite
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ENTRETIEN – COVID 19 : Le directeur de la Pharmacie et du médicament sur le stock de chloroquine au Sénéquine : « On en a suffisam
Pendant que le Coronavirus se propage à pas de géant dans le pays, la communauté scientifi... Lire la suite
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MBOUR – Saer Kébé déplore le refus de sa bourse sans « fondement juridique ni administratif ».
L’étudiant Saer Kébé, se sent lésé par la Direction des bourses. En effet, inscrit réguliè... Lire la suite
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EDUCATION : Après ses 55% de réussite au bac l’année dernière, le Lycée Demba Diop fixe ses objectifs pour cette année.
Troisième plus grand lycée du pays en termes d’effectifs avec ses 3636 potaches, le lycée ... Lire la suite
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ACTUALITE
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Medinatoul Salam - Commémoration du 17 Avril : les Thiantacones en plein dans les préparatifs

La 77 eme édition de la rencontre entre Serigne Saliou Mbacke et Cheikh Bethio revêt d’un... Lire la suite
Secteur extractif : la société civile investit la presse

C’est l’hôtel SO SUITE de Saly qui a accueilli cet atelier sur l’investigation dans le secteur... Lire la suite
Secteur informel : le Ministre de l'artisanat invite les acteurs à se formaliser

Khassim Seck C’est en marge d’un atelier organisé les 24et 25 mars que le docteur Pape Abdoulaye... Lire la suite
Trentième assemblée plénière du haut conseil du dialogue social: l’institution prône la bonne gouvernance.

Comme à l’accoutumée le haut conseil du dialogue social a tenu ce lundi 20 mars sa... Lire la suite
Mbour : un an après son accession à la tête de la municipalité, Cheikh Issa Sall se fait évaluer ses administrés

1 vision, 10 axes stratégiques et 100 actions prioritaires. C’est le programme « yessal Mbour » que l’édile... Lire la suite
Loi sur le loyer: les bailleurs et agents immobiliers de Mbour se conforment mais...

C’est à l’occasion d’une rencontre organisée le samedi 18 mars 20223 devant les locaux de l’agence... Lire la suite
Saly: le maire et sa présidente de la commission domaniale arrêtés puis libérés

C’est aux abords de 10h que les supputations nous sont parvenues. Après moult recoupement nous avons... Lire la suite
CULTURE - LITTERATURE : « le jardin de l’espoir » a fleuri pour Abdou Aziz Faye.

KHASSIM SECK « Le jardin de l’espoir » c’est le titre du recueil de poèmes qui a... Lire la suite
COMMUNE DE MBOUR – VOTE DU BUDGET 2023 : près de 6 milliards votés à l’unanimité.

KHASSIM SECK Le conseil municipal de la commune de Mbour s’est réuni hier à l’hôtel Coco Beach... Lire la suite
Transition écologique juste et équitable : le haut conseil du dialogue social apporte sa partition.

KHASSIM SECK Le Haut Conseil du Dialogue Social veut contribuer à l’économie verte en participant activement à... Lire la suite
Promotion de l’emploi des jeunes : Le Cadre de concertation se penche sur l'élaboration de stratégies locales de promotion de

Après la mise en place du cadre de concertation multisectoriel de Mbour qui entre dans le... Lire la suite
Promotion de l’emploi des jeunes

Promotion de l'emploi des jeunes. Le Cadre de concertation se penche sur l'élaboration de stratégies locales de... Lire la suite
MBOUR – 30.000m DE LINEAIRE D’ADDITION D’EAU : Cheikh Issa Sall veut respecter une promesse électorale.

Le Maire de la commune de Mbour a lancé un vaste programme de renforcement du réseau... Lire la suite
AIRE MARINE PROTEGEE DE JOAL FADIOUTH : les trafiquants abandonnent une demie tonne de chanvre indien.

Le trafic de drogue est toujours un fléau difficile à éradiquer dans la petite côte. Avec... Lire la suite
SOCIETE – 15% DE LA POPULATION : les handicapés du Sénégal veulent plus de présence dans les instances de décision.

Les handicapés de l'Afrique veulent marquer leur présence dans les sphères de décision politiques afin de... Lire la suite
PECHE – CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DES OCEANS SUR FOND DE CONTESTATIONS : le PAPAS réclame le relèvement de la zone d

La journée mondiale des océans est célébrée à travers le monde depuis 1992 au sortir du... Lire la suite
LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DES CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME : le Sénégal devenu un bon élève.

La CDEAO, à travers son bras armé le GIABA, fait de la lutte contre le blanchiment... Lire la suite
MEURTRE D’UN JEUNE A MBOUR PAR UN REPRIS DE JUSTICE : la famille de la victime promet de le tuer si l’assassin ressort de la

Encore un meurtre, dira-t-on. Un jeune homme de 26 ans a été assassiné ce mercredi soir... Lire la suite
HABITAT – INDEMNISATION DES IMPACTES DES HLM MARISTES : Macky Sall met sur la table 17,2 milliards.

A la suite de l'exécution du contrat de performance signé avec l'Etat du Sénégal fini en... Lire la suite
MEDINATOUL SALAM – THIANTE INTERDIT A THIES FINALEMENT ORGANISE CHEZ ELLE : Sokhna Aida Diallo reçoit 1 milliard de ses talib

Sokhna Aida Diallo a finalement tenu le Thiante dont l'organisation a été interdite à la dernière... Lire la suite
PROMISCUITE, MANQUE DE PERSONNEL, INSUFFISANCE DES LITS, MANQUE DE MATERIELS (…) : Le chapelet de problèmes du service d’urge

Il y a quelques mois par le passé que l'hôpital de Grand Mbour a été baptisé... Lire la suite
SECURITE – TRANSPORT – MOBILITE URBAINE : le Maire de Mbour veut couper le mal à la racine.

Le transport, la mobilité urbaine et la sécurité font partie des points névralgiques de la commune... Lire la suite
MIGRATION IRREGULIERE : Mbour et Kédougou les deux plaques tournantes du trafic de migrants.

La lutte contre le trafic de migrants est une problématique complexe pour les autorités policières et... Lire la suite
MEDIA ET SCIENCES : le réseau Théophraste note l’urgence d’avoir des journalistes scientifiques.

Le réseau Théophraste a ouvert son colloque international hier à Saly Portudal. L’occasion a été saisie... Lire la suite
POLE URBAIN DAGA-KHOLPA : Abdoulaye Sow engage la discussion avec les populations impactées.

Le pôle urbain Daga-Kholpa a fait l’objet de plusieurs manifestations des jeunes des villages impactés. Depuis... Lire la suite
DGID : pour mieux assister la hiérarchie dans sa mission, les agents de la DGID veulent plus d’implication dans les décisions

L’Amicale des Agents d’Assiettes des Impôts et Domaines veut jouer pleinement son rôle dans la mission... Lire la suite
SECURITE – TRESORS : les travailleurs du trésor réclament plus de sécurité dans l’exercice de leur fonction.

Ces dernier temps, beaucoup de cas d’agression ou de meurtre sont notés à travers le pays.... Lire la suite
DIASS – INAUGURATION D’UNE CENTRALE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE : la SENELEC élargit son réseau avec 33.000 ménages de plus.

Le Président Macky Sall a procédé hier à l’inauguration de la centrale solaire de Malicounda. Un... Lire la suite
ECONOMIE – ARTISANAT : l’APDA fait son bilan d’étape et se projette sur les 5 prochaines années.

L’APDA (Agence pour la Promotion et le Développement dde l’Artisanat) a été créée par le décret... Lire la suite
HAUSSE DE LA PRODUCTIVITE AGRICOLE : un tracteur hydraulique mis au point par DAUST.

L’agriculture sénégalaise reste toujours à faire des efforts pour devenir compétitive. Pour y arriver, un certain... Lire la suite
CULTURE - PEOPLE
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Coronavirus - Les conséquences du confinement. À Mbour, Le secteur informel se résigne et prêche en faveur des recommandations.

La propagation du Covid 19 dans le Sénégal continue son petit bonhomme de chemin. Cette situation... Lire la suite
CULTURE – DISTRIBUTION DES RECETTES DE LA SODAV : « Depuis 2004, je n’ai reçu que 8000f » ; le cri de cœur de Mame J Ras Soul

La SODAV (Société Sénégalaise des Droits d’Auteur et Droits Voisins) a été mise en place depuis... Lire la suite
SOCIETE : Macky Sall offre 5 millions aux Kankourangs de Mbour.

C’est une enveloppe de 5 millions que le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du... Lire la suite
ARRET SUR IMAGES
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DEVELOPPEMENT LOCAL
Parole aux Mbourois

Contribution : Lettre ouverte au Ministre de l'int
Lettre ouverte au Ministre de l'intérieur / Kankourang de Mbour: Allaamouta ! Cher monsieur le ministre, Pour l'harmonie des...
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CONTRIBUTION – AFFAIRE OUSMANE SONKO/ADJI SARR : L
Durant toute mon éducation familiale et tout mon cursus scolaire, notamment en littérature, on m’a...
Lire la suiteINTERNATIONAL

Le coronavirus pourrait ne jamais disparaître, sel
"Nous avons un nouveau virus qui pénètre la population humaine pour la première fois et il...
Lire la suiteTOUS EN CLASSE

COVID 19 - EDUCATION : Prévue initialement le 02 j
L’information est tombée dans le journal de 23h de la télévision nationale ce 01 juin, à...
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MBOUR - Une ouverture des classes hypothétique : l
« L'heure est grave, notre pays est en danger. Vous devez pouvoir lire le malaise des acteurs....
Lire la suiteLES NTIC CHEZ VOUS

Les meilleurs IDE JavaScript
Pour rappel, un IDE ( Integrated Development Environment ou Environnement de développement ) regroupe un ensemble...
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